Le 5 février, le monde apprenait que le roi Charles III se battait contre un cancer. Quelques mois plus tard, sa belle-fille Kate Middleton faisait le même aveu. Une situation compliquée, pour une famille présentement déchirée par des querelles intestines. La cause ? Le départ du prince Harry et Meghan Markle sur son fond de scandale raciste. D’ailleurs, aussitôt leurs engagements raccrochés, ils n’avaient pas hésité à délivrer une interview choc. Au cours de laquelle, ils étaient revenus sur les mauvais traitements reçus alors qu’ils vivaient encore au Royaume-Uni. À l’heure actuelle, le conflit semble loin de la réconciliation. Mais en parallèle, Charles III reste toujours souffrant. Et surtout, tiraillé entre son rôle de père et de monarque. Fort heureusement, le roi garde le moral. En tout cas, c’est ce qu’une source a affirmé auprès du magazine The Sun ce samedi 17 août. On vous fait le point.
Charles III sur le chemin de guérison ?
Son statut de monarque lui a donné un accès privilégié à ses soins inédits. En effet, selon Robert Kirby, président de la Royal Society of Medicine, le roi a la possibilité d’obtenir les :
« meilleurs médicaments anticancéreux au monde”
De ce fait, la suite n’est guère surprenante. D’autant plus qu’elle s’accompagne de beaucoup d’optimisme de la part de Charles III. D’après une source proche du monarque :
“Le traitement s’est déroulé mieux que quiconque ne l’aurait pensé, même dans ses pensées les plus optimistes”
Tout en ajoutant :
« Lorsqu’il se bat contre la maladie, ce qu’il a pu faire lui donne un sentiment de grande positivité et d’encouragement. Il est tout aussi important d’avoir un état d’esprit positif que de bénéficier de la meilleure expertise médicale pour l’aspect physique de ses symptômes”
Effectivement, il paraît évident que le physique et le psychologique demeurent intimement liés. La prochaine étape se trouve dans son déplacement en Australie en octobre prochain. Le défi réside dans le fait que dans son traitement, le roi doit éviter tout contact prolongé avec la foule. Ainsi, le Sun a indiqué :
“Ses médecins restent ‘protecteurs’ quant au nombre d’heures par jour pendant lesquelles il peut effectuer des tâches en contact avec le public”