Pour beaucoup, obtenir son propre bien immobilier reste l’accomplissement d’une vie. Toutefois, on ne part pas tous avec les mêmes chances. En effet, en fonction de la zone d’habitation que vous souhaitez. Ou encore que vous achetiez seul ou en couple, la situation peut vite devenir périlleuse. Et c’est sans compter sur la composante principale… L’argent ! En fonction de votre situation professionnelle, les banques peuvent se montrer plus ou moins frileuses à l’idée de vous faire confiance. Par ailleurs, pour la majorité d’entre nous, un crédit immobilier nous engage vers un remboursement s’étalant sur des décennies. De ce fait, les banques ont tendance à demander une situation financière en béton, plus un CDI. Cela dit, cette dernière condition tendrait à changer. On vous fait le point.
Crédit immobilier : quelles possibilités quand on n’est pas en CDI ?
D’après le site de CNews, la banque CIC a mis un coup de pied dans la fourmilière. Ainsi, son «Prêt Immo Nouvelles Formes d’Emploi» permet aux personnes hors CDI, donc en intérim, CDD, voire indépendants, d’en profiter. Cette formule autorise l’augmentation ou la diminution des échéances de crédit. Entre 1 à 4 mois par an et jusqu’à 50%. Dans cette veine, la BNP ainsi que la Banque Postale ont aussi proposé de nouvelles expérimentations. En revanche, le conseil que les banques et assurances préconisent reste de pouvoir couvrir les frais de notariats via son apport personnel. Ceci dit, dans le cas des indépendants, il vous faudra prouver la rentrée régulière d’argent. Et donc la pérennité de son activité.
En plus de toutes ces conditions, le taux d’endettement reste une composante incontournable. Fixé à 35%, il représente la somme de ce que vous remboursez en termes de crédit en comparaison à votre salaire mensuel. Toutefois, des aides au crédit immobilier existent à l’instar du :
- Prêt à taux zéro (PTZ),
- L’éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ),
- Prêt d’épargne logement (PEL)