Cela fait maintenant plusieurs jours, voire semaines que le déficit français fait la une des journaux. Avec lui, les politiques n’ont eu de cesse de se tirer dans les pattes. Chacun se targuant d’avoir la solution au problème. Cela dit, seul Michel Barnier et son gouvernement peuvent à l’heure actuelle agir réellement sur cette situation. Avant toute annonce, Gabriel Attal avait assuré que son successeur n’augmenterait pas les impôts.
Une promesse respectée, puisqu’on connaît aujourd’hui les nouveaux barèmes. Toutefois, les retraités n’ont pas eu la même chance… Ces derniers verront leur revalorisation repoussée jusqu’au 1ᵉʳ juillet 2025. Tandis que l’inflation, elle, n’a pas prévu de prendre de vacances. Cependant, cette mesure qui permet une économie de 3,6 Md€ ne sera pas la seule. On vous dévoile ici l’autre fer de lance de Michel Barnier.
Impôts : qui va payer la facture ?
Sur l’ensemble de la population qui paye des impôts, 65 000 foyers fiscaux sont concernés par cette nouvelle. D’après le journal Ouest France, cela représente 0,3% des personnes dont les revenus sont taxés. En termes de salaire, sont ciblés ceux dont le revenu fiscal s’élève à 500 000 euros en couple. Ainsi, ces derniers devraient être taxés à hauteur de 20% de ce qu’ils gagnent. Dans le même temps, une autre décision semble directement impacter les plus aisés. Ainsi, ces nouvelles prérogatives s’accompagnent d’une :
« Réduction des niches fiscales et sociales pour lutter contre les effets d’aubaine et améliorer l’efficacité de l’intervention publique. »
De ce fait, on devrait assister à :
À explorer Impôts sur le revenu : quel sera le nouveau barème pour 2025 ?
- La suppression sur les loueurs meublés avec une économie de 200 millions d’euros
- La fin de TVA réduite sur les chaudières, pour 200 millions d’euros de rentrée d’argent supplémentaire
- La hausse de la taxe sur l’électricité, qui représentera plus de 3Md€ en plus dans les caisses
- L’augmentation du malus écologique sur les voitures, avec ici 300 millions d’euros en plus pour le fisc.