C’est une nouvelle déconvenue pour Stéphane Plaza. En effet, l’animateur et agent immobilier se trouve dans une tourmente sans précédent. Ce dernier fait l’objet de plusieurs allégations de la part de ses anciennes compagnes. Celle-ci dénonçant des violences physiques et psychologiques entre 2018 et 2022. Des accusations qui entachent très largement la réputation de l’ami de Karine Le Marchand. En revanche, cette affaire devrait connaître son dénouement d’ici à la fin de l’année. En outre, Stéphane Plaza a déjà été placé sous contrôle judiciaire. Dans le but d’un jugement prévu pour le 28 août. Ceci dit, dans le cadre de l’affaire, l’agent immobilier aurait tenté de laver son nom. Le tout en utilisant une méthode assez particulière d’après une ancienne collaboratrice. On vous fait le point.
Une collaboratrice de Stéphane Plaza fait machine arrière
Cette ancienne alliée de Stéphane Plaza est sortie du silence en 2023. Lors de son témoignage, elle avait pris parti du côté de l’animateur. En invoquant, une personnalité agréable, à des années lumières des différentes allégations. Toutefois, c’était sans compter un rebondissement. D’après les informations de Mediapart, Émilie, de son prénom, aurait signalé sa volonté de revenir sur sa parole en indiquant :
« Je découvre ton vrai visage. Je vais demander l’annulation du témoignage que tu m’as demandé de faire pour ta défense ! Je comprends mieux ton empressement pour mon témoignage. Je me joins à ces pauvres femmes. Je m’associe à leur cause pour ne plus que ça recommence »
Ce à quoi Stéphane Plaza aurait répondu :
« Ton témoignage a jamais été donné. Je t’embrasse. »
Visiblement rongée par la culpabilité, Emilie a fait parvenir un courrier à l’avocate de l’animateur Hélène Plumet :
« Comme vous le savez, il a sollicité de ma part un témoignage favorable à ses intérêts visant à le présenter sous un jour positif de manière à décrédibiliser les plaignantes dans un dossier de violences conjugales. Ce témoignage a été sollicité et dicté par M. Plaza et n’est pas conforme à la réalité. À ce jour je n’entends pas à ce qu’il soit utilisé dans le cadre de sa défense, ayant été pour ma part témoin et objet de comportements violents, humiliants et dégradants de sa part »
Cela dit, ce changement soudain révélerait un autre aspect au-delà de la prétendue sororité. Ainsi, Hélène Plumet a déclaré qu’elle essayerait :
« d’utiliser le procès à venir pour mettre en œuvre des procédés utilisant le chantage et l’extorsion de fonds aux fins d’obtenir des sommes indues de sa part ».
Un nœud de plus, dans une affaire déjà bien complexe. Rendez-vous le 28 août pour que la justice commence son travail.